Hommage à Petrucciani. Incassable.
– Vous allez au jazz, cette année ? lance Catherine, au détour d’une conversation. J’ai vu qu’il y avait une soirée pour…tu sais…le musicien qui a la même maladie que moi.
– Vous allez au jazz, cette année ? lance Catherine, au détour d’une conversation. J’ai vu qu’il y avait une soirée pour…tu sais…le musicien qui a la même maladie que moi.
« Joue-nous quelque chose… »
Immanquablement, après un repas de fête avec des invités, venait le moment où ma mère appelait l’un de ses fils, pianiste de préférence.
Je vous parle d’une heure que les lève-tard ne peuvent pas connaître.
A l’anglicisme « selfie », je préfère le terme « egoportrait », qui dit mieux encore le narcissisme décomplexé qui a envahi les réseaux sociaux.
J’ai été bercé par la parabole des talents, cette invite à faire fructifier nos dons naturels, et aussi à savoir progresser dans nos apprentissages. Une sorte de justice de l’effort, une méritocratie où tout le monde a sa chance… pour peu qu’il en ait un minimum.