Audrey Podrini. La promesse de l’aube.
J’ai lavé la toile à grande eau – une mémoire d’aquarelliste – afin que la couleur puisse s’y diffuser largement. Tendue sur son châssis, elle frissonne au sortir du bain, saisie par la fraîcheur cotonneuse qui enveloppe la vallée.